Souvenirs Souvenirs

Retrouvons les voix magiques de quelques uns des chanteurs et chanteuses, aujourd’hui disparus, qui ont fait le bonheur des millions de leurs fans … souvenons nous !
À travers leurs chansons les plus célèbres, faisons revivre quelques unes des grandes vedettes de la chanson française que leurs nombreux admirateurs n’ont pas oubliées.
Les artistes sont citées par ordre alphabétique.
Charles Aznavour (1924 – 2018)

Charles Aznavour, né à Paris de parents arméniens, est surtout connu en France comme chanteur mais il était aussi auteur-compositeur-interprète, acteur, écrivain et même diplomate.
En décembre 2008 il obtient la nationalité arménienne lors de sa nomination au poste d’ambassadeur d’Arménie.
À ses débuts il a connu des critiques acerbes (Une voix inaudible et un physique difficile), mais à force de volonté et de talent et grâce au soutien indéfectible du public, il a atteint le haut de l’affiche.
En 70 ans de carrière il a écrit plus de 1.000 chansons dont La Mamma, Les Comédiens, Hier encore, Fort me Formidable, La Bohême …
Les plus grands artistes américains ont repris ses succès, de Ray Charles à Fred Astaire en passant par Shirley Bassey et Bing Crosby.
Chanteur à succès, Charles Aznavour était également un acteur reconnu. Il est apparu dans 63 longsd-métrages et de nombreux téléfilms dont Les dragueurs de Jean-Pierre Mocky et La tête contre les murs de Georges Franju qui lui vaut le prix d’interprétation du cinéma français. François Truffaut lui offre le rôle principal dans Tirez sur le pianiste et il figure aux côtés de Lino Ventura dans Un taxi pour Tobrouk de Denys de la Patellière …
Il a succombé a une insuffisance cardio-respiratoire à Mourès (13890) à l’âge de 94 ans.
Le 5 octobre 2018, la France lui a rendu un hommage national dans la cour des Invalides, en présence du Président et du Premier ministre arméniens et du Président français Emmanuel Macron.
Pour plus d’information :
https://www.nostalgie.fr/artistes/charles-aznavour/biographie
Barbara (1930 – 1997)

De son vrai nom Monique Serf, Barbara débute au cabaret dans les années 1950 et interprète le répertoire de l’époque (Ferré, Brel, Brassens, Piaf…) avant d’écrire ses propres chansons.
Autrice-compositrice-interprète, elle chante Göttingen comme réconciliation franco-allemande pour cette enfant juive marquée par une longue errance pendant l’Occupation. Quant à Nantes, elle évoque son père, Jacques Serf, qu’elle n’avait pas vu depuis dix ans quand il meurt en 1959.
Tube de l’été 1970 qui fait connaître Barbara à un public plus jeune, le texte mystérieux de L’Aigle noir est né sous les doigts de son arrangeur, Roland Romanelli.
Barbara a longtemps été une chanteuse confidentielle. Quinze ans après ses débuts, elle se lance enfin au théâtre Bobino, en 1965. Viendront l’Olympia, l’Hippodrome de Pantin, Mogador et le Châtelet en 1993 qui signera ses adieux sur scène à Paris, puis un ultime récital à Tours, en 1994, trois ans avant sa mort.
En quarante ans de carrière, une centaine de chansons – dont des chefs-d’œuvre musicaux – ont fait d’elle une icône de la chanson française. Des artistes ont été inspirés par Barbara, tels Gérard Depardieu (qui a partagé un spectacle musical avec elle), Vincent Delerm, Dominique A ou les chanteuses Daphné, Carla Bruni, Camille et Jeanne Cherhal.
Pour célébrer la relation si intime qui la lie à son public, elle écrira Ma plus belle histoire d’amour, c’est vous.
Barbara meurt d’un choc toxico-infectieux, le 24 novembre 1997 à l’âge de 67 ans. Elle est enterrée dans le carré juif du cimetière de Bagneux.
Pour plus d’informations :
https://www.nostalgie.fr/artistes/barbara/biographie
Mike Brant (1947-1975)

Quel chanteur incroyable et charismatique des années 1970 ! Sa voix envoûtante a conquis des millions de fans à travers le monde. Ses chansons et son charme sont encore dans tous les cœurs. En cinq ans de carrière cette étoile filante a vendu près de trente millions de disques.
Mike Brant, de son vrai nom Moshé Brand, chanteur et compositeur israélien est né à Famagouste (Chypre) et mort à Paris.
Le jeune garçon, doté d’une voix de stentor, arpente les hauts lieux de Haïfa durant près de deux ans et rencontre un succès grandissant auprès des jeunes.
C’est alors que Jonathan Karmon, grand nom du music-hall israélien, séduit par la voix et le charisme du chanteur lui offre de partir en tournée aux Etats-Unis et en Afrique du Sud. Une expérience qui le conforte dans sa volonté d’entreprendre une carrière solo.
L’opportunité arrive en 1968. Mike Brant, qui se produit alors à Téhéran, est repéré par Sylvie Vartan et Carlos, son secrétaire. Tous deux s’enflamment pour le chanteur à qui ils proposent de se rendre à Paris.
C’est chose faite en 1969. Son premier 45 tours, Laisse-moi t’aimer sorti en 1970 est un immense succès. Auréolé du look du parfait latin lover, Mike Brant est reçu dans toutes les émissions radiophoniques et télévisées. Il continue avec Nous irons à Sligo, A corps perdu ou encore Felicita en 1971.
En 1972 il connait à nouveau un énorme succès avec le titre Qui saura. La même année, il compose C’est ma prière et enchaîne avec plus de 250 galas en un an.
En 1974, Mike Brant montre les premiers signes de dépression. Il fait une première tentative de suicide en Suisse : il saute de la fenêtre de son hôtel. Il en réchappe et c’est de nouveau le succès avec Qui pourra lui dire, Elle a gardé ses yeux d’enfants et surtout avec les adaptations de Feelings de Loulou Gasté et de Morris Albert, Dis-lui.
Une illusion, car le 25 avril 1975, Mike Brant se jette de la terrasse de l’appartement parisien d’une amie et trouve la mort.
Quel magnifique chanteur … Adieu le GRAND MIKE BRANT (une admiratrice anonyme).
Plus d’informations :
https://www.nostalgie.fr/artistes/mike-brant/biographie
Dalida (1933 – 1987)

De son vrai nom Yolanda Gigliotti, Dalida naît le 17 janvier 1933 au Caire, en Egypte.
La chanteuse mythique débute sa carrière dans sa ville natale. En 1954, sa beauté singulière fait mouche, elle est élue Miss Egypte. Attirée par la France, elle débarque à Paris la même année et débute sa carrière de chanteuse dans de petits cabarets. Elle est remarquée par Lucien Morisse, qui devient son mentor, puis son mari. Son frère Orlando la conseillera également et sera son manager tout au long de sa carrière.
Le titre Bambino la propulse vers le succès en 1956. D’autres chansons gorgées de soleil suivront : Histoire d’un amour, Gondolier, Romantica… Adoptée par les Français, Dalida devient également une star internationale. Son accent s’accorde à merveille avec les mélodies méditerranéennes qu’elle continue d’interpréter.
Mais en 1966, un drame vient bouleverser sa vie. Le jeune chanteur italien Luigi Tenco, son nouveau compagnon, se suicide. Elle tente également de se donner la mort mais est sauvée à temps. Quatre ans plus tard, Lucien Morisse se suicide à son tour, Dalida est anéantie. Elle poursuit malgré tout sa carrière et enchaîne les tubes avec Paroles, paroles en 1973, puis l’année suivante Gigi l’amoroso et Il venait d’avoir dix-huit ans, autant de chansons qui sous leur légèreté apparente révèlent la force et la faiblesse de cette femme blessée.
Elle reprend aussi avec une incroyable intensité des chansons qui semblent avoir été écrites pour elle telles que Avec le temps ou Je suis malade.
En 1986, Dalida tourne Le sixième jour sous la direction de Youssef Chahine où elle incarne une bouleversante grand-mère. Ce sera son premier et dernier grand rôle au cinéma.
L’année suivante, le 3 mai 1987, Dalida, emportée par son mal de vivre, met fin à ses jours.
Chanteuse populaire transcendant les générations et les époques, diva absolue, les multiples facettes de Dalida font d’elle une des artistes françaises les plus aimées de tous les temps.
Plus d’informations :
https://dalida.com/biographie/son-histoire.html
Claude François (1939 – 1978)

Claude François naît le 1er février 1939 à Ismaïla en Egypte. Sa famille s’installe à Monte Carlo en 1957. En 1962 sort le premier grand succès de Claude Belle, belle, belle.
Lancé par l’émission « Salut les Copains », Claude François démarre alors une véritable carrière de chanteur.
Plusieurs titres vont le hisser en haut des hit-parades dont Si j’avais un marteau et le nombre d’admiratrices est en augmentation constante : son look de jeune homme de bonne famille, ses cheveux blonds laqués et ses paroles aseptisées sont autant d’atouts pour séduire un public féminin.
En septembre 1964, il se produit pour la première fois à l’Olympia à Paris et enregistre une quinzaine de titres. Il fait un Musicorama, émission de radio enregistrée en direct à l’Olympia à Paris. C’est un triomphe. Il poursuit en enregistrant et en tournant pour la télévision une version de Cendrillon.
L’année 1966 est marquée par la création des Clodettes, quatre danseuses qui font office de faire-valoir. La tournée d’été n’en est que plus délirante, ponctuée par les scènes d’hystérie collective des admiratrices.
Écrit en collaboration avec Jacques Revaux pour la musique et Gilles Thibault pour le texte, Comme d’habitude, adapté en anglais par Paul Anka, My way est un succès planétaire chanté par les plus grands de Sinatra à Elvis Presley.
Un nouveau passage à l’Olympia durant 16 jours à guichets fermés est encore une fois un triomphe. Le spectacle ressemble à un véritable show à l’américaine : quatre danseuses, huit musiciens et le grand orchestre de l’Olympia.
Infatigable il rachète Podium un magazine pour les jeunes puis investit dans une agence de mannequins, Girls Model, se lance dans la production avec les disques Flèches et s’occupe d’artistes tels que Patrick Topaloff et Alain Chamfort.
Poursuivant sa carrière avec frénésie, Claude François enchaîne les succès, shows télévisés, ses voyages incessants, Claude François vit à cent à l’heure.
Le 11 mars 1978, la France entière apprend la mort de Claude François électrocuté à son domicile parisien. La disparition subite de l’idole plonge ses fans et le public dans un état de profond chagrin qui vire parfois à l’hystérie.
Strass, paillettes, Clodettes, Belles, belles, belles, brushing irréprochable, costume sur mesure, rigueur et perfectionnisme : c’était Claude François, un artiste toujours aussi populaire près de 50 ans après sa disparition.
Plus d’informations :
https://www.universalmusic.fr/artistes/20000074179
Juliette Gréco (1927 – 2020)

Grande dame de la chanson française, Juliette Gréco naît le 7 février 1927 à Montpellier. Petit rat de l’Opéra de Paris à 13 ans, la guerre la surprend et la jeune fille est emprisonnée à Fresnes. Libérée en 1942, elle découvre la vie bouillonnante de la rive gauche à Paris. Elle suit des cours de théâtre et se lie à Boris Vian. Elle rencontre ensuite Jean-Paul Sartre qui lui écrit les paroles de sa première chanson La Rue des Blancs-Manteaux. Il y dénonce la peine de mort. En 1949, elle chante lors de la réouverture du « Bœuf sur le toit » où elle rencontre Miles Davis. Une idylle naît entre le jazzman et la toute jeune chanteuse.
En 1951, Juliette décroche le prix de la Sacem pour son titre Je hais les dimanches. Elle se lance ensuite au cinéma et rencontre l’acteur Philippe Lemaire, son futur époux, sur le plateau d’un film de Melville. Le couple se sépare en 1956.
Juliette entame alors une tournée à New York et joue aux côtés de John Huston et d’Orson Welles dans Les Racines du ciel. En 1965, elle obtient le rôle principal du feuilleton Belphégor ou le fantôme du Louvre. En 1966 elle rencontre l’acteur Michel Piccoli et devient sa femme. Le couple divorce en 1977.
Dans les années 70, elle effectue de nombreuses tournées à l’étranger où elle remporte un vif succès. Son pianiste, Gérard Jouannest, devient son compositeur exclusif. Elle publie plusieurs albums.
Dans les années 90, elle multiplie les collaborations avec des chansons écrites par Miossec, Olivia Ruiz, Benjamin Biolay…
En 2008, elle chante en duo avec Abd Al Malik le titre Roméo et Juliette. En 2012, elle reçoit la Grande médaille de vermeil de la ville de Paris. En avril 2015, la chanteuse entame sa tournée d’adieu à l’étranger et en France.
Le 24 mars 2016, elle est victime d’un AVC à Lyon est contrainte d’annuler le reste de sa tounée.
Juliette Gréco meurt à Ramatuelle le 23 septembre 2020 à l’âge de 93 ans.
Plus d’informations :
https://www.universalmusic.fr/artistes/20000108845
Johnny Hallyday (1943 – 2017)

Impossible de parler de chanteurs français sans évoquer « l’idole des jeunes », Johnny Hallyday.
C’est certainement le chanteur français le plus célèbre et le plus populaire, même après sa mort.
Après 58 ans de carrière, Johnny Hallyday est resté l’homme de tous les records. Avec 110 millions de disques vendus, 26 albums de platine, 6 Victoires de la musique, 1.000 chansons à son répertoire, 100 tournées dans les plus grandes salles du pays (dont le Stade de France), aucun artiste français ne l’a égalé !
Johnny Hallyday, Jean-Philippe Smet de son vrai nom, est né le 15 juin 1943 à Paris. Durant son adolescence, il fréquente le Golf Drouot, lieu devenu culte du rock français. C’est là qu’il rencontre Eddy Mitchell. En 1959, il signe son premier contrat et en 1960 il sort Souvenirs, souvenirs, son premier titre inédit. Le succès est immédiat. Johnny Hallyday devient l’idole des jeunes et déclenche les passions.
Sa carrière est jonchée d’immenses succès parmi lesquels Le pénitencier, Noir c’est noir, Requiem pour un fou, La musique que j’aime, Ma gueule, Laura etplus récemment Allumer le feu.
De 1965 à 1980, il vit une relation passionnée avec une autre icône de l’époque yéyé, Sylvie Vartan, avec qui il a un fils, David, né en 1966. En 1981, il épouse Babeth Etienne mais divorce un an plus tard et débute une relation avec Nathalie Baye, avec qui il a une fille, Laura, née en 1983. Entre 1990 et 1994, Johnny vit aux côtés d’Adeline Blondieau, qu’il épousera à deux reprises et il se marie une ultime fois en 1996 avec Laeticia Boudou, de 32 ans sa cadette. En 2005 le couple adopte Jade, puis en 2008 Joy, toutes deux d’origine vietnamienne.
En mars 2017, le chanteur annonce sur les réseaux sociaux qu’il souffre d’un cancer.
Sa dernière tournée engagée avec ses amis Eddy Mitchell et Jacques Dutronc, sous le nom des Vieilles Canailles, a été un franc succès malgré son traitement en cours.
Johnny nous a quittés le 5 décembre 2017 à son domicile de Marnes-la-Coquette. Sa disparition a provoqué une vague d’émotion nationale et internationale avec un hommage populaire à Paris et des funérailles intimes sur l’île de Saint-Barthélemy.
L’impact de Johnny Hallyday sur la musique et la culture française ne s’est pas estompé après sa disparition. Son dernier album Mon pays c’est l’amour est sorti post-mortem en octobre 2018, devenant immédiatement un succès phénoménal. Une série de documentaires et d’émissions télévisées ont été consacrés à sa mémoire, . Son héritage continue également d’être célébré à travers des rééditions d’albums, des concerts hommage et par de nombreux fans fidèles à travers le monde.
Pour plus d’informations :
https://www.gala.fr/stars_et_gotha/johnny_hallyday
Edith Piaf (1915 – 1963)

Édith Piaf fait partie des plus grandes chanteuses françaises de tous les temps. Plusieurs de ses chansons, dont La Vie en rose, Hymne à l’amour et Non, je ne regrette rien font partie des classiques du répertoire musical mondial.
Édith Piaf ou Édith Gassion de son vrai patronyme naît à Paris issue d’une famille d’artistes sur plusieurs générations. Elle passe l’essentiel de sa jeunesse dans la rue, vivre auprès de ses parents la vie itinérantes des artistes de cirque.
En 1935, elle est repérée par Louis Leplée, le gérant d’un cabaret situé sur les Champs-Élysées : Le Gerny’s. Envoûté par sa présence et le timbre de sa voix, il se met en tête de la faire devenir chanteuse de cabaret. Il la baptise « La Môme Piaf » en raison de sa petite taille. Pendant 7 mois, elle fait salle comble dans le cabaret parisien et enregistre son premier album Les Mômes de la cloche qui est un succès, notamment grâce à la chanson Mon légionnaire.
L’année 1936 elle rencontre la pianiste Marguerite Monnot, qui composera ses plus grands succès. Elle devient une véritable vedette de music-hall en se produisant dans les salles de spectacle parisiennes comme L’Alhambra, L’ABC ou Bobino. Dès 1940, elle s’essaie au théâtre, comme dans la pièce Le Bel Indifférent, mis en scène par Jean Cocteau, son grand ami.
En 1944, elle rencontre un jeune chanteur, Yves Montand, dont elle s’éprend. Elle devient son mentor et le propulse vedette de music-hall en moins d’un an.
En 1946, avec son amie Marguerite Monnot elle compose La Vie en rose qui devient l’une des chansons les plus vendues de tous les temps en France. Cette même année elle lance les « Compagnons de la chanson » avec qui elle enregistre Les Trois Cloches.
Elle vit une idylle lors d’une tournée avec le boxeur français Marcel Cerdan, mais ce dernier décède tragiquement dans un accident d’avion le 28 octobre 1949. Dévorée par le chagrin, elle livre ses sentiments dans l’écriture de l’une de ses plus belles musiques : Hymne à l’amour.
Elle rencontre alors un jeune homme du nom de Charles Aznavour qui lui écrit plusieurs chansons comme Plus bleu que tes yeux.
Malgré de nombreux problèmes de santé, Édith Piaf continue à enregistrer des chansons d’anthologie, comme Padam… Padam, L’Homme à la moto ou La Foule. Ses tournées aux États-Unis et en Europe sont d’immenses triomphes et ses albums sont parmi les plus vendus des pays francophones, La Vie en rose en tête.
Elle meurt le 10 octobre 1963 d’une rupture d’anévrisme, à seulement 47 ans.
Édith Piaf est aujourd’hui considérée comme l’une des plus grandes artistes françaises de tous les temps. Elle fut récompensée à titre posthume d’un « Grammy Hall of Fame » en 1998.
Pour plus d’informations :
https://www.nostalgie.fr/artistes/edith-piaf/biographie
Si cette évocation de quelques chanteurs et chanteuses disparus vous a intéressés, faites-nous le savoir en postant un commentaire sur ce site.
Nombreux artistes méritent également qu’on se souvienne d’eux. Nous pensons à Charles Trenet qui n’est pas dans cette sélection mais qui a traduit toute la nostalgie des mélodies disparues dans sa merveilleuse chanson l’Âme des Poètes.
Reportage réalisé par Pierre Caspar avec la collaboration de Maud Bruant.
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